par Aubin Mar 2 Fév - 16:20
Déjà plusieurs heures que je marchais et aucun point d'eau à l'horizon. Sous un caniar écrasant, je reprit la route. Là, un serpent me bondit dessus et failli me mordre quand j'eus la brillante idée de saisir mon couteau. Mais ce n'était qu'un mirage et par conséquent en essayant de tuer ce serpent, je m'entaillais le bras le bras. Soudainement pris de convulsion, je m'écrasa au sol enavalant une bouffé d'ai ensablé. Il ne manquait plus que ça, une fièvre chronique en plein désert. Je m'évanuit peu de temps après.
Je me réveilllai au coeur du étroite cabane. La fièvre ne m'avait pas mais je me sentais déjà mieux. Je tentai de me lever.Et et à ce moment je vis 5 personnes me regardant droit dans les yeux. Sans hésiter je pris la première chose qui me tomba sous la main et ce fut un bout de bois que je brandi pour me défendre. Ces hommes éclatèrent de rire et un d'eux pensant m'appeurer sortit leur unique armes, enfin la seule que je pensait y avoir. C'était une lonque machette qui avait l'ai d'avoir beaucoup servi à la vu du sang qui en maculait le manche. Pas le moins déstabilisé, je lançais mon arme de fortune dans la tête de l'homme qui s'approchait de moins. Surpris de ce geste, il lacha son couteau et le mis au tapis en autant de temps qu'il me fallut pour sortir de la cabane. Mes ravisseurs eurent un temps de compréhension assez longue qui me permis de remarque que je n'étais pas au dessus de mes peines...
En effet j'étais en haut d'un arbre, de 15 mètres au moins, au beau milieu d'une immense forêt.Je vis une échelle je la saisi immédiatement et une fois en bas de cet arbre je fut accueilli par une immense troupe de personnes avec les fusil pointés sur moi...
J'essayai plusieurs langues pour leur montrer mes bonnes attentions en cachant bien évidemment le l'idée de fuite:
-- ami , amigos, friend
Le problême était que je ne parlait que deux langue avec le français et que je ne savais même pas prononcer ami en allemand mais "amigos" grâce à son écriture proche du français.
-- Tu crois nous berner? me répondit l'un deux avec son français aproximatif, c'est rater!!
Il me fit un grand sourire et ses "amis" s'esclaffèrent. Ils me raconpagnèrent dans ma prison où je me demandais bien comment m'en aller.
Des heures passèrent,quand,un homme vint me voir il me fit descendre de l'arbre et m'emmena sur un sorte d'autel et me dit d'une voie rauque:
-Tu as de la chance que l'on t'ai récupéré.Tu aurais pu mourir.
Ma peur pris le dessus de mes parole et dit:
-Ne me tuez pas!!!!
-Ne t'en fait pas nous navons pas l'intention de te tuer.
-Mais pourquoi m'avoir emprisonné.
L'homme s'esclaffa:
-Nous!T'emprisonné?
-Oui et de plus vous avez essayé de me tuer!
Un blanc se fit...
Soudain, tout le monde se prit d'un fou rire contagieux... je ne pus résister. Mon interlocuteur reprit son sérieux et demanda à la maigre assemblée de se calmer.
--Mais pas du tout, nous voulions simplement te garder au chaud
Je levai un sourcil d'étonnement et le fixai.
Cela l'énerva et m'expliqua dans un élan d'exitation que le seul moyen d'achever la maladie qui prenait en tenaille son village étair d'offrir un homme blanc au dieu Samivel.
Effraré, je me laissai traîner sur l'autel.